À propos
Une matinée culturelle inédite à destination du jeune public
Connu pour sa programmation de concerts et d'expositions d'art, le Botanique lance le projet « Bota Kids », une ouverture à la musique et aux arts visuels pour les plus jeunes qui permettra aux enfants de découvrir, à leur hauteur, le monde des concerts et des expositions.
C'est donc une réelle opportunité pour les plus jeunes de venir découvrir ce que leurs parents viennent habituellement voir dans notre maison de verre à travers une formule adaptée.
Guilt :
Choirs of Nemesis marque le retour de Guilt en version full band. Désormais accompagné de 4 musiciens confirmés, le projet de François Custers amorce avec ce premier titre un futur EP à paraître en mars 2022 qui verra le son de Guilt renforcé de la présence de ces nouveaux instruments. Évoluant vers une diversité de genres et de sonorités, cette nouvelle mouture vient sublimer le propos musical d'un projet qui n'a jamais voulu se cantonner uniquement à ses oripeaux folks.
Choirs of Nemesis annonce la couleur et libère déjà les fauves dans un tableau musical évoluant en crescendo jusqu'à cette explosion instrumentale finale et ses coups de foudre aux réminiscences orientales. Côté texte, c'est encore une fois la métaphore qui émerge par vagues cryptiques. Partant d'une descente vers le chaos et d'un champ de bataille qui lentement s'approche et resserre son étau, on lit la terreur et la fatigue d'une existence qui s'impose à nous dans des boucles indénouables. L'injonction à se battre, se battre encore quand, trop souvent, on connaît l'issue d'une partie jouée d'avance.
C'est une thématique qui traverse l'ensemble des textes de Guilt et porte les relents autobiographiques du combat de François Custers contre la bipolarité. On y lit ce mélange schizophrène d'épuisement et d'embrasement, le diable qui rôde et s'insinue, que l'on tente de tenir en respect autant qu'on l'accueille à sa table. Choirs of Nemesis est chargé d'une crasse poisseuse et d'une bigoterie païenne dont les références littéraires lorgnent du côté de Bukowski ou Donald Ray Pollock. Une certaine idée du livre de chevet.
À propos
Une matinée culturelle inédite à destination du jeune public
Connu pour sa programmation de concerts et d'expositions d'art, le Botanique lance le projet « Bota Kids », une ouverture à la musique et aux arts visuels pour les plus jeunes qui permettra aux enfants de découvrir, à leur hauteur, le monde des concerts et des expositions.
C'est donc une réelle opportunité pour les plus jeunes de venir découvrir ce que leurs parents viennent habituellement voir dans notre maison de verre à travers une formule adaptée.
Guilt :
Choirs of Nemesis marque le retour de Guilt en version full band. Désormais accompagné de 4 musiciens confirmés, le projet de François Custers amorce avec ce premier titre un futur EP à paraître en mars 2022 qui verra le son de Guilt renforcé de la présence de ces nouveaux instruments. Évoluant vers une diversité de genres et de sonorités, cette nouvelle mouture vient sublimer le propos musical d'un projet qui n'a jamais voulu se cantonner uniquement à ses oripeaux folks.
Choirs of Nemesis annonce la couleur et libère déjà les fauves dans un tableau musical évoluant en crescendo jusqu'à cette explosion instrumentale finale et ses coups de foudre aux réminiscences orientales. Côté texte, c'est encore une fois la métaphore qui émerge par vagues cryptiques. Partant d'une descente vers le chaos et d'un champ de bataille qui lentement s'approche et resserre son étau, on lit la terreur et la fatigue d'une existence qui s'impose à nous dans des boucles indénouables. L'injonction à se battre, se battre encore quand, trop souvent, on connaît l'issue d'une partie jouée d'avance.
C'est une thématique qui traverse l'ensemble des textes de Guilt et porte les relents autobiographiques du combat de François Custers contre la bipolarité. On y lit ce mélange schizophrène d'épuisement et d'embrasement, le diable qui rôde et s'insinue, que l'on tente de tenir en respect autant qu'on l'accueille à sa table. Choirs of Nemesis est chargé d'une crasse poisseuse et d'une bigoterie païenne dont les références littéraires lorgnent du côté de Bukowski ou Donald Ray Pollock. Une certaine idée du livre de chevet.