À propos
Johnny Jewel
Compositeur et producteur culte (Chromatics, Glass Candy), Johnny Jewel distille une synth-pop élégante et rétro
Johnny Jewel est un véritable touche à tout. Le multi-instrumentistes américain n’est autre que le leader des Chromatics et de Glass Candy, l’homme fort du label Italians Do It Better mais également l’un des compositeurs derrière la bande-son si particulière de Twin Peaks – la série mythique réalisée par David Lynch.
Il a également composé plusieurs morceaux pour le cinéma avec des titres pour Drive, Bronson et Lost River, rien que ça ! Vous l’aurez compris, son passage au Botanique est l’occasion rêvée de voir, sur scène, l’une des icônes de la synth-pop américaine.
___
Sarah Espour
C’est devant son poster de Mulholland Drive que Sarah Espour commence ses explorations musicales, avec l’aide de son ordinateur et de sa chaîne hi-fi en bakélite, d’où elle écoute ses vinyles favoris : Chromatics, Laurie Anderson, Björk…
Autrice-compositrice-interprète, elle développe une pop alternative où chant, mots et synthétiseurs construisent des récits cinématiques et éthérés.
Active sur la scène indépendante, elle s’est produite en première partie de Léonie Pernet, Rue Oberkampf, Brendan Perry (Dead Can Dance) et Kazu (Blonde Redhead).
La multidisciplinarité est indissociable de son processus créatif. Sarah Espour explore les frontières entre musique et performance, avec une volonté constante de réinterroger les codes du spectacle — une expérience teintée de réalisme magique, entre darkpop romantique, récit-fiction et performance visuelle.
À propos
Johnny Jewel
Compositeur et producteur culte (Chromatics, Glass Candy), Johnny Jewel distille une synth-pop élégante et rétro
Johnny Jewel est un véritable touche à tout. Le multi-instrumentistes américain n’est autre que le leader des Chromatics et de Glass Candy, l’homme fort du label Italians Do It Better mais également l’un des compositeurs derrière la bande-son si particulière de Twin Peaks – la série mythique réalisée par David Lynch.
Il a également composé plusieurs morceaux pour le cinéma avec des titres pour Drive, Bronson et Lost River, rien que ça ! Vous l’aurez compris, son passage au Botanique est l’occasion rêvée de voir, sur scène, l’une des icônes de la synth-pop américaine.
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Sarah Espour
C’est devant son poster de Mulholland Drive que Sarah Espour commence ses explorations musicales, avec l’aide de son ordinateur et de sa chaîne hi-fi en bakélite, d’où elle écoute ses vinyles favoris : Chromatics, Laurie Anderson, Björk…
Autrice-compositrice-interprète, elle développe une pop alternative où chant, mots et synthétiseurs construisent des récits cinématiques et éthérés.
Active sur la scène indépendante, elle s’est produite en première partie de Léonie Pernet, Rue Oberkampf, Brendan Perry (Dead Can Dance) et Kazu (Blonde Redhead).
La multidisciplinarité est indissociable de son processus créatif. Sarah Espour explore les frontières entre musique et performance, avec une volonté constante de réinterroger les codes du spectacle — une expérience teintée de réalisme magique, entre darkpop romantique, récit-fiction et performance visuelle.